La Nouvelle Vague Bretonne déferle au Comœdia

La Nouvelle Vague Bretonne déferle au Comœdia

Pour sa première exposition 2022, Le Comœdia, à Brest, frappe fort : la galerie présente, pour la première fois, dix artistes contemporains venus exclusivement de Bretagne, autour de 170 œuvres, dont celles -jamais exposées- de Yann Kersalé.

« Inutiles d’y chercher des marines ou des Pont-Aven ! La nouvelle exposition du Comœdia, à Brest, la première de l’année 2022, balaye tous les clichés sur les représentations de la Bretagne », commente d’emblée la galeriste Adeline de Monpezat.

Une scène artistique riche et résolument moderne

C’est bien là, en effet, l’un des mérites de cette exposition-vente collective qui réunit dix artistes contemporains venus exclusivement de Bretagne, en présentant dans sa plus grande modernité, le dynamisme et la pluralité de la scène locale, nationale et internationale, loin des idées reçues sur le territoire et ses artistes.

Ce sont ainsi près de 170 œuvres d’artistes qui exposent partout dans le monde qui sont présentés à la vente au sein de la galerie brestoise et qui proposent un nouveau regard. On y retrouve les toiles du peintre brestois Matthieu Dorval et ses séries exprimant toute la poésie et la puissance des éléments vus des rivages qu’il arpente, comme celles de l’artiste et navigatrice Isthme qui, dans son atelier de Nantes, figure les émotions de ses expériences en mer à travers la peinture et le collage.

La possibilité d’acquérir un Yann Kersalé !

La sculpture n’est pas en reste avec notamment les œuvres, autour d’un nouvel alphabet, du Finistérien Jean-Paul Thaéron, formé aux Beaux-arts de Brest et auteur des sculptures emblématiques de la gare. Plus insolite, on peut également y voir les univers condensés dans des boîtes d’inspiration surréaliste de l’artiste brestois Ronan-Jim Sévellec. Mais l’événement de cette vente sera sans doute la possibilité d’acquérir, pour la première fois, une œuvre issue des carnets du sculpteur de lumière mondialement connu, Yann Kersalé.

Retrouvez cet article en intégralité sur le site du journal Le Télégramme

Newsletter